BOGOTA TA VILLE

BOGOTA TA VILLE

LIBEREZ CLARA et EMMANUEL

CLARA QUE TRES VITE TU RETROUVES CE SOURIRE

vendredi 11 janvier 2008

PREMIERE JOURNEE

Clara,
Ta première journée de liberté se termine...
J'espère que tu as profité de la compagnie de ta maman et que tu n'as pas été trop ennuyée par les médias.
J'ai peur de ne plus avoir de nouvelles de ta maman, qui sera c'est sûre très prise par sa nouvelle vie avec toi et Emmanuel. je souhaite quand même qu'elle ne m'oubliera pas et que peut-être elle te parlera de moi ... je me suis tellement battue pour toi pour que l'on te donne la même place que pour Ingrid, mais en vain... c'est aujourd'hui que l'on parle de toi... et j'en suis tellement peinée ... Tu es une femme magnifique, avec une belle âme, comme dirait ta maman ... Je ne sais plus si je t'ai dit sa première parole lorsque nous nous sômmes vues à Bogota pour la prelière fois : " quand deux amies se rencontrent il n'y a plus qu'une seule âme.." c'est beau non ? Elle m'a aussi avouée qu'elle souhaite beaucoup que l'on se rencontre, qu'on avait des points communs... J'espère du plus profond de mon coeur que son souhait qui est aussi le mien, tu t'en doutes... se réalise.
Mais peut-être aussi que je tomberai dans les oubliettes ... Dommage ! Pendant presque 6 ans tu as rempli ma vie, mon coeur, mes pensées.
Liras-tu un jour ces lignes ??????????
J'ose penser que tu sais le français ...puisque dans ta bibliothèque, j'ai découvert le livre d'Ingrid ' La rage au coeur' en français... et je crois que tu es déjà venue en france, c'est vrai ça ne veut rien dire... je suis allée en Colombie pour ta maman, pour toi et je ne sais pas l'espagnol, ou si peu. Mais depuis 3 semaines à suivre les évènements, je comprends mieux...
Tiens je suis entrain de voir sur Globovision que vous allez faire une conférence de presse en direct de l'hôtel Mélia ... tu vois il est 2 h 30 en France et je ne suis pas couchée, je guette les infos sur cette télé et j'ai bien fait d'attendre...
A très vite Clara.

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Une feuille, une page

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Même la nature pleure l'inhumanité de l'homme