BOGOTA TA VILLE

BOGOTA TA VILLE

LIBEREZ CLARA et EMMANUEL

CLARA QUE TRES VITE TU RETROUVES CE SOURIRE

samedi 19 janvier 2008

sans titre

Clara,
Demain il y a une émission française qui te consacre un reportage... Je t'avoue que je rage un peu que des journalistes qui t'ont ignoré pendant 6 ans t'aient suivie pendant plusieurs jours... alors que pendant 6 ans j'ai été une des rares qui me sois battue pour toi,et que tu ne saches peut-être pas mon existence... pour preuve de mon combat pour toi, cette manifestation à Paris où j'étais la seule avec un tee-shirt avec ton portrait alors que tous en portaient un avec le visage d'Ingrid... Etant la seule, je fus remarquée par une personne... qui arriva vers moi les larmes aux yeux, et me dis ' on vient de me signaler que quelqu'un avait un tee-shirt avec Clara, je suis sa cousine...' Tu imagines mon émotion ! c'était ta cousine Carmen, qui par la suite me téléphonait souvent, que j'ai même revue chez elle à Paris, puis ces messages se sont espacés et depuis plus rien, je n'arrive plus à la joindre. C'est elle d'ailleurs qui a mis ta maman au courant de notre rencontre, je lui avais envoyé des photos de ce moment qu'elle a remis à ta maman, qui me les a montrées lorsque je suis allée à Bogota. Voilà le début de mon amitié et de ma correspondance avec ta formidable mère.
Alors j'espère qu'un autre coup du destin nous mettra face à face...
Je viens d'apprendre que tu vas à Madrid ce lundi , ah si je pouvais m'y rendre pour te rencontrer!
Je rêve, je rêve....

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Une feuille, une page

Une feuille, une page
Même la nature pleure l'inhumanité de l'homme